Donc l’homme mort marche dans le noir avec le solo de trompette qui frappe les parois de son crâne, et dans le fond de l’oeil, il y a encore le sexe de la dernière femme qu’il a prise. On dirait qu’il cherche à dire quelque chose, le mort.
Ventriloque, par le biais d’un personnage protéiforme, évoque l’assassinat d’un homme politique. Une forme de théâtre dans le théâtre est ici mise à contribution dans la mesure où le personnage (un employé de chez Mac Donald) assume différentes identités pour raconter l’événement.
(texte bref)
1998. Editions Paroles d'Aube
1998. L’adieu au siècle, Grenoble
Mise en ondes par France-Culture